Skip to main content

Chercher et trouver un « bon » nom, c’est-à-dire celui qui répondra à tous vos objectifs marketing et communication et à vos valeurs et sensibilités, cela prend du temps. Toutes les phases de recherches créatives sont étroitement liées aux recherches légales. Il s’agit bien de s’assurer que le nom convoité n’existe pas ou qu’il n’est pas déjà utilisé dans votre domaine métier ou un domaine connexe. Une fois cette étape validée, vous voilà confronté au nom de domaine. Vous l’aurez compris, dans la hiérarchie de nos recherches, le nom de domaine n’est pas prioritaire, même s’il est important, évidemment.

Je veux un nom de marque percutant en 5 lettres

Car que recherche t-on la plupart du temps pour un nom ? Son originalité oui, mais aussi sa concision. Un nom court et original, voilà l’extrait de 98% des briefs que nos clients nous confient. Il faut en effet s’accorder sur un fait :  un mot de 5 lettres reste le graal. Ce n’est pas tout le temps vrai mais disons que cela reste efficace et percutant.

Revenons donc au moment de la vérification de la disponibilité du nom de domaine. Que se passe t-il le plus souvent ?  Votre superbe nom en 5 lettres est pris en .com et en .fr ! Pourtant, d’après les recherches légales, aucune entreprise dans le monde ne porte ce nom. Déçu par votre constat, il est important d’aller jusqu’au bout de votre démarche de renseignement. En tapant l’url tant convoité, ce n’est pas sur le site d’une entreprise que vous tombez mais sur une page, souvent en anglais, où l’on vous propose plus ou moins ouvertement d’acheter le nom de domaine visé.

Le marché des domain brokers

Vous tombez de charybde en scylla, comme on dit. Et loin de la mythologie grecque, se déroule sous vos yeux un marché bien réel : celui des domain brokers ou de la spéculation autour des noms de domaine. C’est un peu la Bourse. Les noms qui sonnent le mieux, courts et percutants sont achetés 5 euros par des traders du web puis revendus entre 1 500 et 40 000 $ à ceux dont l’entreprise se nomme finalement ainsi et qui a besoin de ce nom de domaine pour exister sur la toile.

Rares sont les noms de domaine à vendre à moins de 5 000 $. On vous parle en dollars car les places de marché sont souvent centralisées en Russie, dans les îles Caïmans ou au Sri Lanka, entre autres. Des courtiers expérimentés dominent le marché et gèrent un portefeuille de noms de domaine parfois très conséquents pour le compte de clients particuliers qui investissent sur ce produit financier. Il y a ceux qui achètent des actions et ceux qui achètent des noms de domaine.

Ça vous donne des idées ? Quoi qu’il en soit, pour éviter de payer il faudra ruser à votre tour et vous demander s’il vous faut vraiment le nom.com ou si vous pourriez y ajouter une petite particule magique qui vous ferez économiser votre énergie et votre argent du style monnom.com

Bonne idée ? On vous laisse nous la piquer 🙂 Alors non, on ne limite pas sa recherche de nom à celui d’un nom de domaine pour ne pas entrer dans ce jeu spéculaire.

Le point n'est pas une fin. Sachez aller au-delà ! .com, .fr, .org, .bzh... ne sont pas tout puissants.

Si vous avez trouvé cet article utile, n’hésitez pas à le commenter et à le partager sur vos réseaux.

Découvrez les formations de notre studio de contenus et de branding à Nantes.

par ici
Close Menu

gina (at) idilenantes.com
06 43 44 90 11